SYNTHESE DES DONNEES TECHNIQUES

 

Il faut répondre d’abord à trois questions :

      1. Quel est le mode habituel de destruction du matériau à peindre ?

      2. Comment réaliser une protection efficace ?

      3. Où et quand réaliser cette protection ?

        1.  

  • Certains facteurs se traduisent dans la pratique par des phénomènes très divers et variés.

  • L’humidité présente dans le subjectile peut se manifester par :

  •  

        • L’éclatement de briques renfermant des modules de chaux vive.

          La saponification de peinture à l’huile de lin sur un fond alcalin

          L’apparition d’efflorescences blanches, (salpêtre) par solubilisation puis recristallisation des sels solubles enfermés dans la masse du matériau.

          Le cloquage au soleil de peintures imperméables, sur un fond humide.

          La présence de colonies de moisissures sur un fond poreux peu éclairé ou situé au nord.

          Le décollement du feuil de peinture par la pression capillaire.

           

  • La reconnaissance des fonds conserve toute son importance et en particulier dans le cas de travaux neufs.

  • Il faut savoir que la première application de peinture, conditionne l’accrochage de toutes les couches suivantes, ceci est valable pour l’extérieur comme pour l’intérieur.

 

Une dernière question à se poser :

A quelles contraintes devra résister le revêtement protecteur après l’application ?

Dans le cas général des peintures extérieures, il s’agit de résister aux intempéries.

Il y a lieu de se demander chaque fois si le chantier à l’étude est du type classique, ou au contraire, s’il entre dans une catégorie des cas particulier.

C’est une précaution utile qui évite bien des problèmes.

 

 

 

 

 

requete invalide supp ip