SOLUTIONS ET SUGGESTIONS

 

          Le fabricant : Il a suivi en principe l‘évolution technologique, et on peut dire que sa responsabilité ne porte que sur environ 5% des échecs.

           

          Le Prescripteur : Au moins 30% des défauts lui incombe, mal conseillé dans l’élaboration du cahier des charges, il utilise sa formule imposée, et souvent la marque imposée.

           

Il faut savoir que la formule imposée n’est plus envisageable aujourd’hui, la marque imposée est une capitulation du prescripteur, mais aussi de l’applicateur qui doit rester le maître du produit, puisqu’il devient responsable du résultat.

 

Une nouvelle solution est celle des qualités imposées :

C’est la fixation d’épaisseurs minimales pour tous les systèmes de revêtements destinés aux travaux en extérieur.

Par exemple : les normes du DTU façade qui impose le poids de peinture à déposer en fonction des choix des systèmes de I-1 à I-4

 

Il en est de même à l’intérieur pour certains cas particuliers, notamment pour les peintures de sols. La protection contre les intempéries ne peut être efficace que si le matériau est revêtu d’une épaisseur suffisante de peinture en poids, ou en micron comme dans l’industrie.

 

          Et enfin l’applicateur : 65% des travaux défectueux lui sont imputables. Le peintre et le maître d’ouvrage pêchent souvent par ignorance, ils utilisent une peinture sans en connaître la vraie destination. Force est de constater la minceur des connaissances technologiques des candidats au C.A.P. mais également de certains vendeurs, qui pour vendre nous racontent n’importe quoi, c’est bien entendu préjudiciable à la profession.

           

Notre rôle est donc d’instruire nos clients : Sachant qu’il est toujours préférable d’établir un dialogue entre formulateurs (fabricants) prescripteurs (architectes ou vendeurs) et le peintre avant l’application de la peinture.

Ensuite de discuter le prix du travail, ou de l’achat du produit.

 

 

 

 

 

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